Le travail plastique d’Irina Favero-Longo mélange vidéo, installation et performance. Née à Paris en 1991, Irina Favero-Longo est diplomée du DNAP à l’ENSBA Lyon (FR) en 2014. Elle complète sa formation à L’ERG (Bruxelles) de 2014 à 2017, formation qui lui permettra aussi d’étudier pendant six mois à la Faculdade de Belas Artes de Lisbonne. En 2017, elle obtient son Master en Pratique de l’art outils critiques, spécialité vidéo. EN 2019, elle obtient la distinction Prix Cocof dans le cadre du Prix Médiatine , en Belgique.
Irina Favero-Longo ‘s work stir together video, installation and performance. Born in Paris in 1991, Irina Favero-Longo is graduated in 2014 with National Degree of Plastic Arts from ENSBA Lyon (FR). Until 2017 she increases her formation at ERG (Bruxelles) where she obtains graduation for degree: Pratique de l’art, outils critiques, specialised in video. She also had 6 month artistic education in Faculdade de Belas Artes in Lisbon.In 2019, she’s awarded from Mediatine Price with mention : Prix Cocof (Belgium).
Texte de l’exposition « Don’t let me close one more door »
Les œuvres vous regardent. Vous n’êtes pas les seules regardeureuses. On se regarde. On imagine une architecture qui nous enveloppe comme un sweat, qui nous protégera. Regarder, oui, ressentir aussi. S’enfoncer, rebondir, se tenir debout, s’étendre, déborder. Faire entrer à l’intérieur de nous, faire sortir. Infuser puis diffuser. Donner la permission. Toucher, lécher, renifler, goûter, avaler, désirer, vomir, digérer. Se racler la gorge, se gratter la luette. Ça part du ventre. Ça remonte le système digestif, arrive dans la gorge, agite la glotte sensible. Une vibration s’installe sur le seuil. Un tremblement de chair ? Ça sort par la bouche, se pose sur les lèvres et plonge dans l’espace. Un chant de sirène ? Ça se heurte à l’architecture, s’additionne, fusionne avec les surfaces, devient le paysage.
On a faim, on a faim, on a faim. Notre vulnérabilité sera un outil de luttes. Son cul s’fait un torticolis, là où les pétales sentent le lilas*.
Dans nos petits cœurs, pas de veranda*. Allons y mollo. Les herbes du dehors se mélangent au parquet du dedans. Leurs ombres se fondent avec les veines du bois. Notre résistance s’exprime par le mou. Ici, les œuvres parlent. Vous n’êtes pas les seules à converser. On se parle.
Flânez, traînez, attardez vous. Du trou de la bouche au trou des fesses, vous avez le temps. Les œuvres s’épanchent sur vous, elles vous digèrent. Prenez en soin. Passez-leur du lait de bébé dessus. Hydratez-les.
Don’ let me close one more door Kult XL mai – juin 2024 Exposition collective Organisation de l’exposition et réalisation d’une installation scénographique
L’exposition « Don’t let me close one more door » réunit le travail de sept artistes dans, sur et sous une structure-sculpture imaginée par Caroline Delaville et Irina Favero-Longo.
Nous vous invitons à expérimenter cette sculpture collective en vous asseyant dessus, vous allongeant dedans. À moitié dedans, à moitié dehors, à moitié spectateurices, à moitié acteurices.
C’est par l’alliance du dur et du mou que nous vous proposons de partager un moment à l’intérieur de cette exposition. Nous la considérons comme une étape de réflexions et de sensations, une expérimentation de nos désirs les plus folles.
Les artistes invitées:
Cécile Bouffard Lucille Léger Charlie Malgat Acte Bonté et Jeanne Zion Caroline Delaville Irina
barre en alluminium, 1m70 de long, 43mm de diamètre, disques en argile blanche cuite, joints en silicone blanc, forme en silicone pigmenté jaune, 1m20 de long
vues d’exposition de la sculpture faisant partie de l’installation Heavy mechanics, exposée à la Centrale for contemporary art, Bruxelles, novembre 2022-janvier 2023
Don’ let me close one more door Kult XL mai – juin 2024 Exposition collective Organisation de l’exposition et réalisation d’une installation scénographique
L’exposition « Don’t let me close one more door » réunit le travail de sept artistes dans, sur et sous une structure-sculpture imaginée par Caroline Delaville et Irina Favero-Longo.
Nous vous invitons à expérimenter cette sculpture collective en vous asseyant dessus, vous allongeant dedans. À moitié dedans, à moitié dehors, à moitié spectateurices, à moitié acteurices.
C’est par l’alliance du dur et du mou que nous vous proposons de partager un moment à l’intérieur de cette exposition. Nous la considérons comme une étape de réflexions et de sensations, une expérimentation de nos désirs les plus folles.
Les artistes invitées:
Cécile Bouffard Lucille Léger Charlie Malgat Acte Bonté et Jeanne Zion Caroline Delaville Irina
Don’ let me close one more door Kult XL mai – juin 2024 Exposition collective Organisation de l’exposition et réalisation d’une installation scénographique
L’exposition « Don’t let me close one more door » réunit le travail de sept artistes dans, sur et sous une structure-sculpture imaginée par Caroline Delaville et Irina Favero-Longo.
Nous vous invitons à expérimenter cette sculpture collective en vous asseyant dessus, vous allongeant dedans. À moitié dedans, à moitié dehors, à moitié spectateurices, à moitié acteurices.
C’est par l’alliance du dur et du mou que nous vous proposons de partager un moment à l’intérieur de cette exposition. Nous la considérons comme une étape de réflexions et de sensations, une expérimentation de nos désirs les plus folles.
Les artistes invitées:
Cécile Bouffard Lucille Léger Charlie Malgat Acte Bonté et Jeanne Zion Caroline Delaville Irina Favero-Longo
installation et vidéo vidéo – 10’06, 16/9, full HD, son, couleur installation – 150cx150cm, tasseaux de bois, maquettes en carton peint vues de l’exposition collective «Art au Centre Liège#8», 7 février – 30 avril 2022 vitrine du 159 rue Feronstrée, Liège (BE) Pour l’exposition «Art au Centre Liège #8», j’ai créée un installation en deux parties communiquants, qui s’intéresse à ce passage entre la maquette et la vidéo, entre l’objet et sa prise en main. Pour cette installation la vidéo à été retravaillée, diffusée sans son, avec des sous-titres
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installation and video video – 10’06,16/9, Full HD, sound, colour installation – 150cx150cm – wood – painted cardboard exhibition views from « Art au Centre Liège #8 » february – abril 2022, window: 159 Feronstrée street, Liège (BE) For this exhibtion I showed the video Jeannine tient les maquettes de Jeannot inside an installation. The all installtion questions the passage from model to video, from the object and the moment it’s manipulated. For this exhibition the video is showed without sound, with
Heavy mechanics vues d’exposition personnelle à Centrale for contemporary art – vitrine, Bruxelles, 2022
IfrI installation
vidéo de droite: Heavy mechanics 9’21 4K son diffusée en boucle écran fixé sur une barre en aluminium poli de 43 mm d’épaisseur et environ 3m50 de haut
vidéo de gauche: Work out 12’43 4k diffusée en boucle écran fixé sur une barre en aluminium poli de 43 mm d’épaisseur et environ 3m50 de haut
sculpture: barre en aluminium de 2m de long, 43mm de diamètre, deux disques en argile blanche cuite, joints en silicone blanc, forme en silicone jaune de 1m80 de long
« Heavy mechanics orchestre la machinerie des corps : celui de la ville et ceux de ses occupant.e.s. Les revêtements : peaux palpitantes et chromes miroitants se confrontent. Le corps pris dans la machine urbaine lutte contre les mécanismes qu’il a assimilés.
Irina Favero-Longo filme une rencontre intime entre le corps métallique et organique, dans une boucle temporelle et mécanique qui nous hypnotise. Elle fait de nous les voyeur.se.s consentant.e.s de cette relation entre rapports de pouvoir et négociation. Une relation où chacune des entités vient construire un espace en créant du lien.
Elle vient heurter le corps humain à celui de la machine chargée de la symbolique d’un espace-temps rationaliste. A l’image de ce que crée le montage vidéo, ici le mouvement induit par le corps métallique crée une distorsion temporelle, à la limite de l’absurde, dans laquelle le corps humain se transforme. Il devient une drôle de machine qui performe
et répète les mêmes rouages. Pourtant il a beau essayer de se fondre dans son partenaire, de devenir entièrement mécanique, il résiste à la contrainte de la matière. Le corps humain est peau, membranes, os et tissus. Il est multiple et évolutif. C’est cette polysémie qui l’empêche de devenir totalement objet. Il se tord, se déforme, se moule mais une tension demeure avec la matière du mobilier qu’il utilise. Il aura beau améliorer chacune de ses performances en intervenant sur lui-même ou sur cet autre corps, celui du mobilier et par extension celui de la ville, une inadaptabilité sera toujours présente. Une résistance aux rythmes mécaniques, au cadre induit par la ville.
Irina Favero-Longo nous présente des corps uniques et collectifs qui construisent nos spatialités en ménageant des zones préservées d’expérimentations. Des corps qui flirtent avec les bords du cadre. »
Brunella Danna-Allegrini
Remerciements
l’équipe de la CENTRALE, Joseph Rioton (performeur), Hélène Clerc-Denizot (son), Maxime Gourdon (étalonnage et soutien technique), pour leur superbe travail.
Les passant.e.s de la plaine de jeux Quai à la Houille pour leur participation précieuse, et toutes les personnes et ami.e.s qui ont contribué à la réalisation de ce projet.
Caroline Delaville pour l’assistance au montage de l’exposition.
La Fédération Wallonie Bruxelles pour son soutien.
installation et vidéo vidéo – 10’06, 16/9, full HD, son, couleur
installation – 150cx150cm, tasseaux de bois, maquettes en carton peint
vues de l’exposition collective «Art au Centre Liège#8», 7 février – 30 avril 2022 vitrine du 159 rue Feronstrée, Liège (BE)
Pour l’exposition «Art au Centre Liège #8», j’ai créée un installation en deux parties communiquants, qui s’intéresse à ce passage entre la maquette et la vidéo, entre l’objet et sa prise en main. Pour cette installation la vidéo à été retravaillée, diffusée sans son, avec des sous-titres
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installation and video
video – 10406,16/9, Full HD, sound, colour
installation – 150cx150cm – wood – painted cardboard exhibition views from « Art au Centre Liège #8 » february – abril 2022, window: 159 Feronstrée street, Liège (BE)
For this exhibtion I showed the video Jeannine tient les maquettes de Jeannot inside an installation. The all installtion questions the passage from model to video, from the object and the moment it’s manipulated. For this exhibition the video is showed without sound, with subtitles.
dimensions variables – grè – émail – clous vues d’exposition de « Digression habitables » , exposition personnelle à Fondation Privée du Carrefour des Arts, Bruxelles (BE), janvier 2022
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installation
variable dimensions – clay – enamel – nails exhibition views from « Digressions habitables », solo show at Fondation privée du Carrefour des Arts, Bruxelles (BE), 2022
|fr| dispositif – 52,5×87,5×113,5cm, bois mdf, peinture laque, moquette verte Lors d’expositions, la vidéo «La Niche» peut être montrée avec ou sans son dispositif. Celui-ci peut aussi être montré accompagné ou non de la vidéo. |en| display – 52,5×87,5×113,5cm, mdf wood, painting, green carpet For exhibitions, the video « La Niche » and his display can be showed together or separetely.
vues d’exposition de « Bonne nouvelle », exposition collective, à Atelier B, Bruxelles (BE), mars 2022. Autres expositions: Fondation Privée du Carrefour des Arts, Bruxelles (BE) janvier 2022
« La Niche » est une œuvre multiple, un point de rencontre entre divers médiums et plusieurs personnes.
La projet à d’abord été soutenu par la Fondation Privée du Carrefour des Arts pendant une résidence de 2018 à 2019, puis part l’Escaut architectures, coopérative d’architectes basée à Bruxelles, où les images de la vidéo «La Niche» ont été tournées en octobre et novembre 2019. Plusieurs personnes de l’équipe, parmi les 38 participants, on aussi participé à l’expérience de La Niche.
La Niche est un dispositif vidéo pensé pour accueillir des corps. Son volume, construit sur le modèle de l’abri pour chien, est une extension de ma pratique vidéo. Elle transpose l’image vidéo en espace physique et part de concepts comme le cadre, le champs, le format vidéo pour créer un volume, des formes, de la matière. Elle est aussi un outils pour filmer, pour fixer ma caméra. « Ca pourrait être un clocher, la caméra pourrait être la cloche ». Des groupes sont invités à s’allonger, passer leur têtes dans La Niche et expérimenter l’espace du cadre comme espace à habiter, par la discussion et la construction d’une réflexion collective. « On remplit l’espace mentalement ».
« A l’intérieur, dans l’espace délimité du champs, se construit la discussion et la rencontre, se condensent les idées. A l’extérieur, dans le hors champs, le corps est étendu. D’un côté comme de l’autre la partie du corps absente est rendue visible, dedans par une tête qui parle de son corps, dehors par un corps qui formalise la pensée par le geste. On observe visuellement les effets de la pensée qui se construit. La parole se répartie, s’organise, s’accumule, dessine des aller et des retours, se contracte, rebondit aux quatre coin de l’espace intérieur. (…) Une cadreuse de cinéma qui filme en plongée rencontre un plongeur sous-marin et une femme responsable de la plonge dans un restaurant. Comment séduit-on un bâtiment, comment il ou elle nous séduit ? Que représente la profondeur d’un champs, qu’elle soit numérique, agricole ou spirituelle? Quelles sont les architectures qui nous reviennent sans cesse, ayant élu demeure dans la pensée collective?»
extrait d’un article publié dans a revue en ligne ABSYS du Centre Wallonie Bruxelles.
Lors d’expositions, la vidéo «La Niche» peut être montrée avec ou sans son dispositif. Celui-ci peut aussi être montré accompagné ou non de la
vidéo: 4’15 – 16/9 – projection en boucle – son en boucle sortant du vidéoprojecteur installation: bois contreplaqué – tasseaux de bois – vidéo-projecteur – dvd player Exposition «PM15» des lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles Janvier 2019
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video and installation video : 4’15 – 16/9 – loop projection – sound from projector installation : wood planks – wood battens – projector – dvd player – Exhibition «PM15» des lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles 2019, January.
vidéo et installation vidéo : 16’17 – 16/9 – son – projection en boucle installation: 124x223x201cm – tasseaux de bois – cartons récuperés banc en bois, vidéo projecteur, Exposition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,Fondation privée du Carrefour des Arts, juin 2019
Manipuler une architecture, la retourner, l’ouvrir, y mettre un doigt, la jeter à la poubelle; le fantasme de pouvoir lui faire ça. Prendre une architecture dans sa main. La maquette permet la projection. Mais que permet elle lorsqu’elle est manipulée? La confrontation des deux échelles, celle du modèle réduit et celle du corps, rompt avec cette projection. Comment le décor persiste quand il est pris en main ? Ici, la maquette est remise dans l’espace intime et domestique où elle a été construite. Elle est un déclencheur d’histoire, de parole. Elle est loin de l’objet neutralisé du bureau d’architecture, elle est empreinte d’affect, d’une vie partagée et d’un long travail quotidien. C’est une ville en carton, comme le dit Jeannine « c’est plein de poussière ». Cette vidéo voulait parler des maquettes de Jeannot, elle est devenue le récit de Jeannine. Jeannine habite l’image, c’est désormais elle le sujet.
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video and installation video : 16’17 – 16/9 – sound – loop installation: 124x223x201cm – wood battens – cardboards wood bench , projector Exhibition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,Fondation privée du Carrefour des Arts, juin 2019
Manipulate an architecture, turn it over, open it, put a finger inside, pile up in a box : fantazise we could to this to it. Anrchitecture fiting un our hand. Models / mock up enable projection. But what happens when this model is manipulated? Confrontation of the both scales: body’s one and model ‘s one, breaks whith this kind of mental projection. How set remains when it’s taked in hand? Here, model is puted back in domestic place where it was build. It starts story tellings, talks. It’s not anymore the neutral object, it’s an affectiv object, the witness about a shared life and a long daily work. It’s a carboard’s city, as Jeannine says: « it’s full of dust ». This video first aimed to talk about models that Jeannot built; it finally becames Jeannine’s tale. She occupies the image, she’s now the main subject.
La Coureuse installation vidéo installation : 220x43x25 cm, bois mdf, peinture laque vidéo : 1’15, en boucle, 16/9 femme qui court: Brunella Dana- Allegrini Exposition «Carrefour des Arts, the end of the residency show», Fondation privée du Carrefour des Arts, juin 2019.
Installation de mediums multiples photos- sérigraphies sur bois – sérigraphie sur papier – sound Vidéo: 14’42 – 16/9 – projetée au mur – boucle Dispositif de projection et assise : bois aggloméré – tissu – mousse pour maquettes – peinture acrylique Expostions: Putch Galerie, Erg, Bruxelles, 2017 – installation et vidéo Lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles, 2019 – vidéo seule-
Sharing utopy est un projet né dans la ville de Lisbonne. J’ai demandé à sept personnes, de pays natales et langues différentes, d’imaginer un élément architectural utopique qui s’inscrirait dans un contexte urbain.j’ai construit ces sept utopies sous forme de maquettes que j’ai ensuite fixées sur des structures pour qu’ils puissent les porter sur leur tête. Puis j’ai invité les participants à célébrer la création fictive de cette ville idéale en portant leur utopie sur leur tête, le temps d’une fête. Une ville faite du rassemblement d’utopies partagées. L’objet final de ce projet est la réalisation d’une vidéo. Cette vidéo réalisée en point de vue aérien devient la carte d’un territoire fragmenté et perpétuellement en mouvement grâce aux corps qui la soutiennent. Elle est montrée dans une installation dans laquelle je déconstruis et ré investis plusieurs éléments du processus de création du projet.
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Instalation mix medias photos – serigraphys on wood and paper – divers constructions using model materials and construction materials – sound video : 14’42 – 16/9- projected on the wall – loop Exhibitions: Putch Galerie, Erg, Bruxelles, 2017 – installation and video Lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles, 2019 – video only
Sharing Utopy is a participated project based in Lisbon.7 people (coming from different places) shared with me their utopic urban space. I built models from it and structures to wear the utopias on the head. The final aim of this project is to shoot a video. This video is like a map of this new utopic city, framgented and always moving by bodies supporting it.It’s projected inside an instalation where I deconstruct and use again few elements of the project’s process. The seven poeple are finally invited to a party to celebrate and share their utopy whith others particpants, weiring it on their
Sculpture & performance: 210x230cm – bois contrepalqué – peinture blanche – peinture corporelle, mars 2017 et juin 2017 performeur.euse.s : Rachel Magnan, Quentin Geslan, Arnaud Delumeau, Arthur Clam
Le mur à deux têtes nécessite deux performeur.ses. Ils déplacent un mur qui ressemble aussi à un écran dans lequel leurs visages sont encastrés. Le mur à deux tête vient d’une image mentale dans laquelle corps et architecture fusionnent et s’inter-conditionnent. Les performeur.ses devront trouver un moyen de se déplacer ensemble à un rythme régulier et commun. Le mur à deux têtes ne se déplace que sur le coté, les deux visages ne voient que devant eux. Le mur à deux têtes s’arrête à certains endroits, modifiant l’espace d’exposition pour lequel il a été construit. A chaque pause les performeur.ses ferment les yeux laissant place à l’observation de leurs visages-paysages, inspirés des cartes postales «idylliques». Le mur à deux têtes joue de la rencontre de deux codes esthétiques : ceux du « white cube » et de la fête foraine. Cette performance à lieu une première fois dans l’endroit pour lequel il a été construit : la Putsch galerie. Il est construit au mesures de la galerie, agissant comme une sorte de camouflage. La deuxième performance aura lieu dans un autre espace d’exposition , qui cette fois contraste complètement avec la structure et ses codes esthétiques. La structure agit alors comme une trace du lieu originel dans un espace nouveau : La Recyclerie. Cette performance qui nécessite l’activation d’une sculpture sera le point de départ d’une série de structure trouées et de corps fragmentés. Ces structures laissent voir la surface de la structure et ce qui la fait tenir, ce qu’elles montrent du corps et ce qu’elles cachent. Elles donnent à voir la matérialisation d’une image utopique et sa confrontation au corps, contraint.
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Sculpture & performance: 210x230com – wood – white painting – painting for body, 2017 march and june performers : Rachel Magnan, Quentin Geslan, Arnaud Delumeau, Arthur Clam
Le mur à deux têtes is a sculpture activated by two performeurs. They move the structure while their faces are embedded in. They have to find a commun and regular rythm.Le mur à deux têtes comes from a mental image in which body merge with architecture. They move the structure in an exhibition space. First time, in the space the structure is built for : The Putsch galery. Le mur à deux têtes is mad for galery’s mesures. Being like a part of architecture, it actes like a sort of camouflage. The second time the performance is played it takes place in a place constrasting whith the structure dimensions ans esthetique, It’s more acting like the mark of the with cube galery in a new space : La Recyclerie. It’s a starting point of a serial of holed structures, holed surfaces. This structures are mad to be activated by bodies who appears fragmentated. Utopic idea ‘s materialization make body confront to the structure. The wall is moving, two faces are landscaps, holing the white huge surface, like a screen without image.
12 – 15 novembre 2023: Parcours d’Artistes Ixellois, Volta XL, Bruxelles (BE), exposition collective,
curation: Mathieu Menten
17 novembre 2022 – 9 janvier 2023 : Heavy mechanics, exposition personnelle à CENTRALE for contemporay art – vitrine, Bruxelles (BE),
curation: Tania Nasielski
8 novembre 2022- 27 novembre 2022: 11 years of residencies, exposition collective, Espace Vanderborght, Bruxelles (BE), curation: Laura Neuve et Lola Meotti
3 février- 30 avril 2022 : Art au centre #8, exposition collective, vitrine du 159 rue Féronstrée, Liège (BE),
curation: Arthur Cordier
11-23 janvier 2022 : Digressions habitables, exposition personnelle, Fondation privée du Carrefour des Arts, Bruxelles (BE), curation: Irina Favero-Longo
13 et 14 mars 2021 :
«Tôt ou tard» (opening studio), Exposition collective, Atelier B, Bruxelles (BE), curation collective: Atelier B
25 février-7 mars :
Exposition collective organisée par Femixion Fanzine,E2 Sterput, Bruxelles (BE), curation: Femixion Fanzine
5 juin-15 juillet : Carrefour des Arts, the end oh the residency show,
Exposition des pièces réalisées pendant la résidence, Fondation privée du Carrefour des Arts, Bruxelles (BE)
juin 2019 – septembre 2019 : PM15#1, Exposition collective réunissant une sélection de lauréats distingués par le Prix Médiatine,
Centre Culturel Wallonie-Bruxelles, Paris (FR), curation: Stéphanie Pécourt
4 mai 2019- 31 mai 2019 : Knust Fetival, Exposition collective, oeuvre collective réalisée avec Laureline Mahéo, Dépot Design, Bruxelles (BE)
15 févirer – 17 mars 2019 : Prix Médiatine, Exposition des lauréats, La Médiatine, Bruxelles (BE), curation: Sandra Emboli
7 février – 20 février 2019 :
«Carré vert , paradis»
Exposition collective, galerie Elda Mazer, Paris (FR), curation: Lelila Guinnefolau et Irina Favero-Longo
mai 2018 : Fishwalk, Exposition du collectif Catapulte, Ateliers No Supplies, Bruxelles (BE), curation: Collectif Catapulte
mars 2018 : Video Delivery, Exposition personnelle Galerie Bom Dia Bonjour, Bruxelles (BE), curation: Bom Dia Bonjour
avril 2017 :
Performance « Posé entre le coin et la marche », Poisson-Eveque, Exposition collective autour de la performance,
Le Maga et dans les alentours du quartier St Gilles, Bruxelles (BE), curation: Stéphanie Verin
mars 2017 : Vous êtes en retard pour un tour de catapulte, Exposition collective, Galerie de l’Erg Putsch, Bruxelles (BE), curation: Collectif Catapulte
Residencies
2023-2025: En résidence aux ateliers Kult XL, Bruxelles (BE)(contactez moi par mail et passez me voir!)
mars 2020 – mars 2021 :
Résidence au C12 avec le collectif Catapulte, Bruxelles (BE)
21 octobre 2019 – 17 novembre 2019 :
Résidence à l’escaut architectures, Bruxelles (BE)
septembre 2018 – juin 2019 :
Résidence à la Fondation Carrefours des Arts, Bruxelles (BE)