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Irina Favero-Longo

I N F O S

Le travail plastique d’Irina Favero-Longo mélange vidéo, installation et performance.
Née à Paris en 1991, Irina Favero-Longo est diplomée du DNAP à l’ENSBA Lyon (FR) en 2014.
Elle complète sa formation à L’ERG (Bruxelles) de 2014 à 2017, formation qui lui permettra aussi d’étudier pendant six mois à la Faculdade de Belas Artes de Lisbonne.
En 2017, elle obtient son Master en Pratique de l’art outils critiques, spécialité vidéo.
EN 2019, elle obtient la distinction Prix Cocof dans le cadre du Prix Médiatine , en Belgique.

Irina Favero-Longo ‘s work stir together video , installation and performance.
Born in Paris in 1991, Irina Favero-Longo is graduated in 2014 with National Degree of Plastic Arts from ENSBA Lyon (FR).
Until 2017 she increases her formation at ERG (Bruxelles) where she obtains graduation for degree: Pratique de l’art, outils critiques, specialised in video.
She also had 6 month artistic education in Faculdade de Belas Artes in Lisbon.In 2019, she’s awarded from Mediatine Price with mention : Prix Cocof (Belgium).

Portfolio: portfolio 2020 – Irina Favero-Longo
Contact : irinafaverolongo@yahoo.fr

W O R K S

 

 

 

infos

     

Dix doigts dans le paysage

|fr|
Sculpture et performance
sculpture: cercle en bois mdf vert de 120 cm de diamètre et de 12 mm d’épaisseur – dix trous
performance : environ 10 minute
Exposition performative Fishwalk du collectif Catapulte, No Supplies, mai 2018 deux dernières photos prises par Johan Poezevara
https://johanpoezevara.com/
|en|
Sculpture and performance
sculpture: wood sphere : 120cm diameter and 12 mm tickness – ten holes
performance: around 10 minutes
Performative exhibition Fishwalk by collectif Catapulte, No Supplies, 2018 may last photographs by Johan Poezevara
https://johanpoezevara.com/ 

pour voir la vidéo :   https://vimeo.com/331575636             mdp: alger

infos
pour voir la vidéo :   https://vimeo.com/331575636             mdp: alger

Jeannine tient les maquettes de Jeannot

|fr|
vidéo et installation
vidéo : 16’17 – 16/9 – son – projection en boucle
installation: 124x223x201cm –  tasseaux de bois –  cartons récuperés
banc en bois, vidéo projecteur,
Exposition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,Fondation privée du Carrefour des Arts,
juin 2019

Manipuler une architecture, la retourner, l’ouvrir, y mettre un doigt, la jeter à la poubelle; le fantasme de pouvoir lui faire ça. Prendre une architecture dans sa main. La maquette permet la projection. Mais que permet elle lorsqu’elle est manipulée? La confrontation des deux échelles, celle du modèle réduit et celle du corps, rompt avec cette projection. Comment le décor persiste quand il est pris en main ? Ici, la maquette est remise dans l’espace intime et domestique où elle a été construite. Elle est un déclencheur d’histoire, de parole. Elle est loin de l’objet neutralisé du bureau d’architecture, elle est empreinte d’affect, d’une vie partagée et d’un long travail quotidien. C’est une ville en carton, comme le dit Jeannine « c’est plein de poussière ». Cette vidéo voulait parler des maquettes de Jeannot, elle est devenue le récit de Jeannine. Jeannine habite l’image, c’est désormais elle le sujet.

|en|
video and installation
video : 16’17 – 16/9 – sound – loop
installation: 124x223x201cm –  wood battens –  cardboards
wood bench , projector
Exhibition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,Fondation privée du Carrefour des Arts,
juin 2019

Manipulate an architecture, turn it over, open it, put a finger inside, pile up in a box : fantazise we could to this to it. Anrchitecture fiting un our hand. Models / mock up enable projection. But what happens when this model is manipulated? Confrontation of the both scales: body’s one and model ‘s one, breaks whith this kind of mental projection. How set remains when it’s taked in hand? Here, model is puted back in domestic place where it was build. It starts story tellings, talks. It’s not anymore the neutral object, it’s an affectiv object, the witness about a shared life and a long daily work. It’s a carboard’s city, as Jeannine says: “it’s full of dust”. This video first aimed to talk about models that Jeannot built; it finally becames Jeannine’s tale. She occupies the image, she’s now the main subject.

infos

20.5×20.5

|fr|
vidéo: 1’32 –  16/9 – pas de son – projection en boucle –  2019
projet réalisé lors d’une résidence à la Fondation du Carrefour des Arts
Exposition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,Fondation privée du Carrefour des Arts,
juin 2019
|en|
video : 1’32 – 16/9 – no sound – loop – 2019
project realized at the Fondation du Carrefour des Arts residency
Exhibition «Carrefour des Arts, the end of the residency show», Fondation privée du Carrefour des Arts,
2019,

infos

Sans titre

23,5×39,5cm
medium, peinture laque vert brillant, boule quies rose
exposition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,
Fondation privée du Carrefour des Arts,
juin 2019

infos

Vaccum line

|fr|
vidéo
5’13 – 16:9 – son – projection en boucle
réalisée à l’usine Tase , Lyon (FR), 2012
danseur: Joseph Rioton

Dans cette danse incessante entre le danseur et le tuyau lequel conditionne l’autre? Le mouvement nous fait perdre la perception des plans.

|en|
video
5’13 – 16:9 – sound – loop
shot at usine Tase , Lyon (FR), 2012
danser: Joseph Rioton

In this looping danse between the dancer and the pipe, which one is leading the other? Movement brings trouble in perception of planes.

 

infos

Posé entre le coin et la marche

|fr|
Sculpture et performance:
sculpture: 110cmx80cmx65cm – Bois contreplaqué – peinture blanche – peintures sur corps,
performance: environ 30 minutes
performeur.euse.s: Eglantine Bironneau, Quentin Geslan, Adeline Molle
Festival de performances Poisson-Eveque, exposition au MAGA , Bruxelles, avril 2017
Les peintures sur corps ont été réalisées par Rebecca Conforti
|en|
Sculpture and performance:
sculpture: 110cmx80cmx65cm – wood – white painting – painting for body, 2017 april
performance: environ 30 minutes
performers: Eglantine Bironneau, Quentin Geslan, Adeline Molle
Performances festival Poisson-Eveque, exhibition at MAGA , Bruxelles, 2017 avril
Body painting by Rebecca Conforti

 

infos

 

La Niche (projet en cours)

La Niche est mon nouveau projet vidéo. C’est une œuvre multiple, un point de rencontre entre divers médiums et plusieurs personnes autour d’une question commune.

La projet à d’abord été soutenu  par la Fondation Privée du Carrefour des Arts pendant une résidence de 2018 à 2019, puis part l’escaut architectures, coopérative d’architectes basée à Bruxelles où les images de la vidéo «La Niche» ont été tournées en octobre-novembre 2019. Plusieurs personnes de l’équipe, parmi les 38 participants, on aussi participer à l’expérience de la Niche.

La Niche est un dispositif vidéo pensé pour accueillir des corps.
Son volume, construit sur le modèle de l’abri pour chien, est une extension de ma pratique vidéo. Elle transpose l’image vidéo en espace physique et part de concepts comme le cadre, le champs, le format vidéo pour créer un volume, des formes, de la matière. Elle est aussi un outils pour filmer, pour fixer ma caméra. « Ca pourrait être un clocher, la caméra pourrait être la cloche »*.
Des groupes sont invités à s’allonger, passer leur têtes dans La Niche et expérimenter l’espace du cadre comme espace à habiter, par la discussion et la construction d’une réflexion collective. « On remplit l’espace mentalement »*. Une réflexion horizontale nait dans un espace verticale.

A l’intérieur, dans l’espace condensé du champs, se construit la discussion. A l’extérieur, dans le hors champs, le corps est étendu. On observe des deux côtés la pensée  devenir une matière. Dans ce laboratoire d’expérimentation des outils de construction de l’image vidéo mais aussi des modes de discussions où le corps, les sensations, l’intime qui agissent en hors champs sont finalement au centre du débat.
On y parle d’architecture et on crée des relations étroites avec elle, on aborde des pensées métaphysiques, des histoires d’amour passionnelles ou impossibles, on construit à plusieurs des définitions organiques, on aménage le contexte, on s’y remémore la découverte d’un corps en trois dimensions, on fait des ponts pour créer de nouvelles images et de nouveaux savoirs.

Une cadreuse de cinéma qui filme en plongée rencontre un plongeur sous-marin et une femme responsable de la plonge dans un restaurant. Comment séduit-on un bâtiment, comment il ou elle nous séduit ? Que représente la profondeur d’un champs, qu’elle soit numérique, agricole ou spirituelle? Quelles sont les architectures qui nous reviennent sans cesse, comme ayant élu demeure dans la pensée collective?

La discussion est le seule élément qui, dans la Niche, construit la narration, l’action et la composition de l’image dans un cadre stricte. « C’est un espace ordinaire dans lequel se passe des choses extraordinaires »*. L’enveloppe extérieur de la Niche est très sensible à son environnement extérieur, elle reflète la lumière et absorbe les couleurs qui l’entoure, comme celles des corps. Sa propre couleur est changeante , elle passe du rose au blanc en fonction de la luminosité extérieure, de l’heure de la journée et des corps qu’elle accueille.

* extraits tirés de la vidéo « La Niche »

La vidéo “La Niche” est en cours de montage.

 

 

 

infos

     

Cuisiner l’écran

|fr|
Vidéo: 11’38 – 16/9 – projection au mur – son- projection boucle,  juin 2017
expositions :
“Way-out” ,Recy-K , Bruxelles
“Lauréats du Prix Médiatine”, La Médiatine, Bruxelles
“#PM15”, Centre Culturel Wallonie-Bruxelles, Paris

J’ai construit ma cuisine pour la filmer de haut, je l’ai conçu comme un volume qui sera aplati par l’image aérienne. Elle est faite au dimensions de mon corps, pour être actionnée par mon corps. La cuisine, espace fonctionnel hyper normé et standardisé est inspirée aux prémices de la modernité par l’organisation du travail à l’usine et l’efficacité du geste.
Ma cuisine au contraire est unique et a pour fonction de construire une image. Ses ustensiles sont pour moi comme les éléments qui me permettent d’élaborer une peinture. Ses plans de travail sont aussi des surfaces de couleur et des surfaces-écrans. La planche à découper est un élément central: un écran dans l’écran et la référence proportionnelle du 16/9.  Je cuisine l’écran. Je joue avec les proportions, les échelles , les dimensions de l’image vidéo et la matérialité de celle-ci.

|en|
Video: 11’38 – 16/9 – projected on wall – sound – loop 2017, june
exhibitons:
“Way-out” ,Recy-K , Bruxelles
“Lauréats du Prix Médiatine”, La Médiatine, Bruxelles
“#PM15”, Centre Culturel Wallonie-Bruxelles, Paris

I built my kitchen in order to shoot it from above. I conceived it like a volume that will be flatten out by the aerial view. It was created according to my own body size, and to be activated by me. The kitchen, this functional, super normative and standardized space, is inspired, at the premise of modernity, by the work organisation in the factory and the effectiveness of gesture.
On the contrary, my kitchen is unique and his function is to build an image. Its utensils are the elements that allow me to develop the painting. The kitchen worktops become color surfaces and screen surfaces.The chopping board is a central element, it is a screen in the screen and the proportional reference of the 16:9 video format.
I like to play with proportions, scales, dimensions of the video image and the materiality of it.

infos

Divers photographies

|fr|
Photographies argentiques prises entre la France et le Portugal
recherches sur les corps dans différents espaces et l’inscription du corps dans des paysages urbains
|en|
Analogues photographs from divers places between France and Portugal
researches about bodies inside different spaces and presence of body in urban

infos

Lift, exposition Lauréats du Prix Médiatine

|fr|
vidéo et installation
vidéo: 4’15 – 16/9 – projection en boucle – son en boucle sortant du vidéoprojecteur
installation: bois contreplaqué – tasseaux de bois – vidéo-projecteur – dvd player
Exposition «PM15» des lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles
Janvier 2019
|en|
video and installation
video : 4’15 – 16/9 – loop projection – sound from projector
installation : wood planks – wood battens – projector – dvd player –
Exhibition «PM15» des lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles
2019, January.

 

 

 

 

 

 

 

infos

             

Sharing Utopy

|fr|
Installation de mediums multiples
photos- sérigraphies sur bois – sérigraphie sur papier – sound
Vidéo:  14’42 – 16/9 – projetée au mur – boucle
Dispositif de projection et assise : bois aggloméré –  tissu – mousse pour maquettes –  peinture acrylique
Expostions: Putch Galerie, Erg, Bruxelles, 2017 – installation et vidéo
Lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles, 2019 – vidéo seule-

Sharing utopy est un projet né dans la ville de Lisbonne. J’ai demandé à sept personnes, de pays natales et langues différentes, d’imaginer un élément architectural utopique qui s’inscrirait dans un contexte urbain.j’ai construit ces sept utopies sous forme de maquettes que j’ai ensuite fixées sur des structures pour qu’ils puissent les porter sur leur tête. Puis j’ai invité les participants à célébrer la création fictive de cette ville idéale en portant leur utopie sur leur tête, le temps d’une fête. Une ville faite du rassemblement d’utopies partagées.
L’objet final de ce projet est la réalisation d’une vidéo. Cette vidéo réalisée en point de vue aérien devient la carte d’un territoire fragmenté et perpétuellement en mouvement grâce aux corps qui la soutiennent. Elle est montrée dans une installation dans laquelle je déconstruis et ré investis plusieurs éléments du processus de création du projet.

 

|en|
Instalation mix medias
photos – serigraphys on wood and paper – divers constructions using  model materials and construction materials – sound
video :  14’42 – 16/9- projected on the wall – loop
Exhibitions: Putch Galerie, Erg, Bruxelles, 2017 – installation and video
Lauréats du Prix Médiatine, La Médiatine, Bruxelles, 2019 – video only

Sharing Utopy is a participated project based in Lisbon.7 people (coming from different places) shared with me their utopic urban space. I built models from it and structures to wear the utopias on the head.
The final aim of this project is to shoot a video. This video is like a map of this new utopic city, framgented and always moving by bodies supporting it.It’s projected inside an instalation where I deconstruct and use again few elements of the project’s process. The seven poeple are finally invited to a party to celebrate and share their utopy whith others particpants, weiring it on their heads.

 

 

 

 

 

infos

       

La jupe

|fr|
Sculpture et performance
sculpture: 46×61,5×46 cm – bois – carrelage blanc brillant – mousse blanche de jointure – sangles en polyester noir – crochets métalliques
performance: environ 20 minutes
performeuse: Alison Guignepain
photos 1 & 2: Johan Poezevara

La jupe à été réalisée pour l’exposition défilée Fishwalk.
Les performeurs et performeuses lors de cet événement défilent sur un ensemble de sculptures podiums qui dessinent un “catwalk”. Les sculptures sont portées comme des vêtements, conditionnant alors la manière avec laquelle les performeurs et performeuses se déplacent.

|en|
Sculpture and performance
sculpture: 46×61,5×46 cm wood – brillant white tiles – white joint – ployester black strap – metalic hook
performance: environ 20 minutes
performer: Alison Guignepain
pictures 1 & 2: Johan Poezevara

La jupe is created for the fashion show exhibition Fishwalk.
During the event, performers walk on a sculptural catwalk. Scultpures are weared like clothes, conditionning the performer’s

















 



 

infos
    

Le mur à deux têtes

|fr|
Sculpture & performance: 210x230cm – bois contrepalqué – peinture blanche – peinture corporelle, mars 2017 et juin 2017
performeur.euse.s : Rachel Magnan, Quentin Geslan, Arnaud Delumeau, Arthur Clam

Le mur à deux têtes nécessite deux performeur.ses. Ils déplacent un mur qui ressemble aussi à un écran dans lequel leurs visages sont encastrés. Le mur à deux tête vient d’une image mentale dans laquelle corps et architecture fusionnent et s’inter-conditionnent.
Les performeur.ses devront trouver un moyen de se déplacer ensemble à un rythme régulier et commun. Le mur à deux têtes ne se déplace que sur le coté, les deux visages ne voient que devant eux. Le mur à deux têtes s’arrête à certains endroits, modifiant l’espace d’exposition pour lequel il a été construit. A chaque pause les performeur.ses ferment les yeux laissant place à l’observation de leurs visages-paysages, inspirés des cartes postales «idylliques».
Le mur à deux têtes joue de la rencontre de deux codes esthétiques : ceux du “white cube” et de la fête foraine.
Cette performance à lieu une première fois dans l’endroit pour lequel il a été construit : la Putsch galerie. Il est construit au mesures de la galerie, agissant comme une sorte de camouflage. La deuxième performance aura lieu dans un autre espace d’exposition , qui cette fois contraste complètement avec la structure et ses codes esthétiques. La structure agit alors comme une trace du lieu originel dans un espace nouveau : La Recyclerie.
Cette performance qui nécessite l’activation d’une sculpture sera le point de départ d’une série de structure trouées et de corps fragmentés. Ces structures laissent voir la surface de la structure et ce qui la fait tenir, ce qu’elles montrent du corps et ce qu’elles cachent. Elles donnent à voir la matérialisation d’une image utopique et sa confrontation au corps, contraint.

  |en|

Sculpture & performance: 210x230com – wood – white painting – painting for body, 2017 march and june
performers : Rachel Magnan, Quentin Geslan, Arnaud Delumeau, Arthur Clam

Le mur à deux têtes is a sculpture activated by two performeurs. They move the structure while their faces are embedded in. They have to find a commun and regular rythm.Le mur à deux têtes comes from a mental image in which  body merge with architecture.
They move the structure in an exhibition space. First time, in the space the structure is built for : The Putsch galery. Le mur à deux têtes is mad for galery’s mesures. Being like a part of architecture, it actes like a sort of camouflage. The second time the performance is played it takes place in a place constrasting whith the structure dimensions ans esthetique, It’s more acting like the mark of the with cube galery  in a new space : La Recyclerie.
It’s a starting point of a serial of holed structures, holed surfaces. This structures are mad to be activated by bodies who appears fragmentated. Utopic idea ‘s materialization make body confront to the structure.
The wall is moving, two faces are landscaps, holing the white huge surface, like a screen without image.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

infos

             

 

 

Video delivery

|fr|
Installation de deux vidéos
Installation: 109x68x50cm (Lift) et 26x26x100cm (Pizza) – bois contreplaqué – tasseaux de bois – papier gélatine – vidéoprojecteurs
vidéos:
Lift: 2’50 –  en boucle
Pizza: 7’00 – en boucle
Son global de l’installation: enregistrement du son répétitif du store de la galerie qui s’abaisse et se relève.
Exposition Video delivery, Bom Dia Bonjour
février 2018
|en|
Installation with two videos installation: 109x68x50cm (Lift) et 26x26x100cm (Pizza) – wood – wood’s batten – paper for projection – video projector
video:
Lift: 2’50 – loop
Pizza: 7′ – loop
installation’s sound: recording of the repeptitive sound of the galery window’s awning, going down and going up.
Exhibition Video delivery, Bom Dia Bonjour
2018, february

     

 

 

infos

   

La Coureuse

installation vidéo
installation : 220x43x25 cm, bois mdf, peinture laque
vidéo : 1’15, en boucle, 16/9
femme qui court: Brunella Dana- Allegrini
Exposition «Carrefour des Arts, the end of the residency show»,
Fondation privée du Carrefour des Arts,
juin 2019. jj
E
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B
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I
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Expositions

21 octobre 2019 – 17 novembre 2019: Résidence à l’escaut architectures, Bruxelles (BE)

septembre 2018 – juin 2019: Résidence à la Fondation Carrefours des Arts, Bruxelles (BE)

5 juin-15 juillet: Carrefour des Arts, the end oh the residency show,
Exposition des pièces réalisées pendant la résidence,
Fondation privée du Carrefour des Arts, Bruxelles (BE)

juin 2019 – septembre 2019 : PM15#1,
Exposition collective réunissant une sélection de lauréats distingués par le Prix Médiatine,
Centre Culturel Wallonie-Bruxelles, Paris (FR)

4 mai 2019- 31 mai 2019 : Knust Fetival,
Exposition collective, oeuvre collective réalisée avec Laureline Mahéo,
Dépot Design, Bruxelles (BE)

15 févirer – 17 mars 2019 : Prix Médiatine, Exposition des lauréats,
La Médiatine, Bruxelles (BE)

7 février – 20 février 2019 : «Carré vert , paradis»
Exposition collective, galerie Elda Mazer, Paris (FR)

mai 2018: Fishwalk, Exposition du collectif Catapulte, Ateliers No Supplies, Bruxelles (BE)

mars 2018: Video Delivery, Exposition personnelle Galerie Bom Dia Bonjour, Bruxelles (BE) juin 2017 :Way-Out, Exposition collective, Le Recy-K, Bruxelles (BE)

avril 2017 : Performance « Posé entre le coin et la marche », Poisson-Eveque, Exposition collective autour de la performance, Le Maga et dans les alentours du quartier St Gilles, Bruxelles (BE)

mars 2017 : Vous êtes en retard pour un tour de catapulte, Exposition collective, Galerie de l’Erg Putsch, Bruxelles (BE)

Prix

Médiatine – Prix COCOF, 2019

T
E
X
T
S
La maladresse de l’autruche. (Mémoire de Master)

La maladresse de l’autruche .pdf

 

Art même 78

Art même 78

Mois : janvier 2020

Photos

Posted on 8 octobre 20181 juin 2020 by Irina
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